Par : monhugo

Cher Monsieur, “montecristo”, il m’arrive (fort peu souvent, eu égard à la somme des commentaires) de poster des “errata”.
Ce qui montre :
a) que je me relis – mais le fais plus aisément quand le commentaire est posté et lisible in extenso (la “visibilité” du commentaire, avant qu’on puisse l’envoyer, est souvent réduite à une petite fenêtre – et j’écris des choses longues, plutôt fréquemment),
b) qu’en précisant ces “lire, merci”, je fais preuve d’humilité, n’hésitant pas à souligner une première version imparfaite – alors que nombre des lecteurs n’auraient rien vu méritant d’être corrigé.
Je ne veux pas me hausser du col, mais mes commentaires, je les veux irréprochables sur la forme – ce qui est une politesse pour tous – et ils sont très, très loin, de se limiter à des corrections de ce type, sur l’orthographe, la syntaxe… de la prose des autres… !
Quand la question, par exemple, appelle quelque commentaire d’ordre juridique, je n’y manque jamais – sauf à ne pas avoir lu la “brève” ou l’article (je ne passe pas mon temps sur NdF – ni d’ailleurs sur le net en général, en dépit de mes insomnies permanentes !).
Votre remarque fielleuse va exactement dans le sens de ma réponse à “Gisèle” – vous êtes représentatif de la coterie machiste qui ne m’aime pas. Je vous réponds, comme Pialat à Cannes : “Moi non plus, je ne vous aime pas”.
Car le cinéma, comme l’histoire, et 2 ou 3 autres sujets encore, j’ai de l’appétence pour, et sais en parler. Sans personne pour m’emboîter le pas, en général.
Je ne suis pas de ces mouches du coche, qui redisent (mal) ce qui a déjà été dit, ou enfilent les banalités, ou les propos délirants – plusieurs “écoles”, en combinaison(s) possible(s).
Je lis ce que les autres écrivent. Encore une “vilaine” habitude, sans doute.